Derrière ce terme anglo-saxon (littéralement : financement par la foule) se cache le concept de financement participatif.
Ce phénomène à démarré il y a quelques années, sous forme de don, il était alors possible d’aider un artiste, un artisan ou autre à financer une œuvre ou un travail, sans contrepartie financière. Exemple, un restaurant qui pourrait financer son bar en échange d’un cocktail aux noms de ses financiers.
Et puis le système s’est financiarisé, il est désormais possible de produire un artiste dans l’espoir de le voir réussir et partager les fruits de son succès. Aujourd’hui, il est possible d’investir dans les sociétés et de prêter aux entreprises.
Rien de bien nouveau direz-vous, puisque de tous temps il a été possible d’investir dans des projets ou des sociétés, avec la bourse notamment. Mais le crowdfunding s’exerce dans un cadre particulier : au travers d’une plateforme internet, réglementée par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers), qui vous propose plusieurs projets et sur des montants plafonnés à 1 million d’euros par projet.
Désormais c’est vous qui décidez des projets que vous voulez soutenir.
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